[Archivage] Ma vie, Mes Conquetes (Varandore)

Introduction.

Pour comprendre l'histoire de Varandore, il faut remonter à l'origine de son existence, et de celle de sa naissance.
Varland
d'Endort, était un grand magiciens, sa puissance était connu par de là
son royaume, et tous connaissaient sa marque qui était à l'origine de
sa puissance, il s'agissait d'une brûlure magique, la V.E. qui est en
fait les initial de son nom, et celui de son royaume. Il commençait à
vieillir, et avec sa femme ils désiraient un enfant. Un garçon serait
parfait pour eux, car il aurait les moyens d'apprendre la magie grâce à
son père. Finalement à force d'user de magie pour favoriser la création
d'un enfant la femme tomba enceinte, la grossesse se passa bien, et
neuf mois et une semaine plus tard la dame accoucha. Elle accoucha d'un
garçon, puis un autre sortit, c'était des jumeaux, Varandore venait de
naître, il était le cadet. Ces deux enfants avaient hérités de la
marque de leur père sur leur bras droit.
Varland d'Endort qui
connaissait les dangers d'une confrontation pour le futur pouvoir entre
frère décida d'abandonner le cadet des deux enfants. Varandore fut donc
abandonné en bordure d'une forêt de puant, le père espérait que ceux-ci
tue Varandore, car ce fut au-dessus des forces du grand magicien de
tuer l'un de ses deux fils. Peut de temps après cette acte, le royaume
d'Endort disparut de la surface du globe.
Varandore étant un
humain, qui plus est le fils de ce grand mage serait certainement tuer
par des puants, mais il n'en fut rien. En effet, le chef de la horde de
puant, Centuor, le centaure d'Oxor, recueilli Varandore. Il l'avait
pris avec lui car la marque de Varandore l’intéressait
particulièrement, il en connaissait la signification, mais il n'était
pas un très grand magiciens, l'apprentissage qu'il lui fourni fut des
plus rudimentaires.
Varandore était exclu par la tribu, car il
représentait l'ennemi. Il insitat fortement pour avoir le droit
d'apprendre à manier des armes. L'instructeur accepta la requête de
Varandore, car Centuor avait appuyé la demande du jeune Varandore,
alors âgé de 4 ans. L'instructeur voyant d'un mauvais œil le fait qu'un
humain puisse prendre des armes dans le camp, lui imposa d'apprendre a
se battre avec deux haches, celle-ci étaient lourdes comme l'enfer.
Varandore, était le plus motiver de tous, il avait hate de montrer à
tous qu'il leur était dévoué et qu'on pouvait lui faire confiance. Il
tenta de les soulevaient, il en prit d'abord une dans chaque main
pensant y arriver, il réalisa alors qu'il ne pourrait jamais en tenir
deux du moins pas pour le moment, il ne les avaient même pas fait
bouger d'un pouce. Il essaya alors d'en prendre juste une, il donna
toute sa force, toute sa volonté et tout son espoir pour réussir à la
soulever, mais se fut en vain, elle bougea cette fois-ci d'environ 1ou
2 millimètre sur le coté. Ses camarades se moquèrent de lui, sauf un,
il s'agissait d'un ogre, Barbarian. Il s'approcha de Varandore, la peur
le prit il ne voulait pas se faire tuer par un ogre, meme si celui-ci
était très jeune, sa force n'était pas négligeable. Il prit alors les
deux haches, le regarda, et fini par lui parlait:

-
Toi le ptiot humain, tu n'y arrives pas n'est ce pas, faut dire vu ton
corps tu n'y arriveras sans doute jamais, héhéhé, mais je veux bien
essayer de t'aider à y arriver, pour ca essai d'utiliser ta marque
magique, et entraîne toi plus que n'importe lequel d'entre nous,
renforce ton corps. Alors qu'en dis tu?

Varandore
qui n'avait encore jamais parlé a personne hormis Centuor, hocha la
tête pour lui répondre. Barbarian, venait de déclencher en Varandore le
commencement de ce qui fera sa puissance, il l'avait soutenu, en
l'encourageant. Les paroles de celui-ci pouvaient etre prise comme de
l'arrogance de la part de Barbarian, mais elle redonna le morale à
Varandore. Il chercha alors un moyen de se renforcer, il en conclut
rapidement qu'il devait se renforcer même la nuit lorsqu'il dormait. Il
décida alors de se mettre des poids sur tout le corps, pour s’alourdir,
et ainsi renforcer ses muscles, le soir il dormait entre deux branche
d'arbres, en équilibre avec la encore des poids. Le premier moi de
cette entraînement, qui devenait une hygiène de vie, Varandore
n'arrivait pas à dormir d'un œil reposait. Il n'arrivait toujours pas à
soulever la hache, cela l’empêcher d'avancer dans son apprentissage, il
était sur le point de désespérer, et Barbarian, ne lui avait plus
parler depuis. Varandore se sentait seul, mais aucune larme ne pouvait
couler de ses yeux. Il n'arrivait à rien. Barbarian le voyait, il le
considérait comme un être fort, à sa façon, il ne voulait pas qu'il
abandonne, et donc il alla lui parler pour la deuxième fois.

-Hep
petit gas, ca va pas hein? Je le vois, même si tu n'y laisse rien
paraître. Tu es peut être condamné a ne jamais pouvoir nous montrer que
tu es fort. Mais pour moi petit gas, oui pour moi tu es bien plus fort
que nous tous. Me regarde pas comme ça va. Tu me croix pas c'est ca? Je
vais t'expliquer alors, tu es haït par nous tous, pour les actes de ton
père Varland, qui nous attaquait car on représentait le mal, et qui
nous chassait de nos terres. Cependant, toi tu ne nous haït pas, car on
ta récupérait, et tu aides chacun de nous. Tu veux savoir pourquoi je
te parle, tout simplement car une fois par ton geste tu as éviter la
mort de notre bien aimé chef Centuor, s'il ne t'avais pas rencontré il
serait tombé sur une troupe qui l'aurait sauvagement tuer. Viens avec
moi va, moi aussi j'ai pas de famille, mais ma situation est moins pire
que la tienne. Montre leur, à tout ceux qui ne croit pas en toi que tu
peut le faire, et ils pourront rien te dire alors, défie les et écrase
les!

- On est ami alors?

L'ogre
cette fois-ci hocha de la tête, en acquiesçant, et il vit alors le
premier sourire de Varandore. Centuor avait observé la scène de loin,
il prit Varandore à part, joua au go et aux échecs avec lui, et il
perdit. Il comprit alors que Varandore serait un grand seigneur, et
qu'il pourrait diriger la horde s'il arrivait à soulever les haches et
à porter un coup à l'instructeur, même s'il ne le touchait pas il
aurait réussi l'impossible. Barbarian et Centuor s'appliquèrent à aider
Varandore chacun à sa façon. Et finalement après un an d’entraînement
acharner, Varandore ne réussit pas à soulever ses haches, mais il avait
réussi a utiliser le pouvoir de sa marque. La marque le brûla au début,
puis renforça son corps, c'était la première étape du pouvoir de la
marque, l'instructeur nargua alors le jeune Varandore. Prit par la
colère et la rage, il venait d'activer la deuxième parti de son
pouvoir, il avait renforcé son corps et sa magie, il venait de faire
apparaître le début d'une autre marque, sur le bras gauche. Voulant se
venger de l'instructeur il tenta de soulever les deux haches, et le
miracle se produisit, il avait réussi. Barbarian et Centuor regardèrent
Varandore lui sourirent, et celui-ci se jeta sur l’instructeur qui
repoussa Varandore par un simple coup de pied.
L'instructeur avait
promis à Varandore de lui apprendre le maniement de toutes les armes
qu'il connaissait, la hache étant la dernière qu'il lui enseignerais.
Varandore après l’entraînement qu'il appliquait de plus en plus dure,
progressa le plus rapidement aux maniement des armes. Finalement à 14
ans il maîtrisait parfaitement toutes les armes. Au cours de ces
années, Varandore réussit à conquérir le cœur de tous, c'était la sa
plus grande victoire. Il commença enfin a apprendre le maniement des
haches, pour fêter l’événement, il se fit faire deux grosse haches
demandant au forgeront de les faire les plus lourde possible et de
graver sur l'une un centaure qui représentera ses amis et ses alliés,
et une un loup qui lui représenter la famille, même s'il ne connaissait
pas la sienne, c'était important pour lui. Le forgeron lui fit les plus
belles armes de toutes sa vie, les deux haches qu'il avait faites était
plus lourde que celle que Varandore avait tenté de porter plus jeune.
Le talent de Varandore était grand, il avait donner beaucoup d'effort,
pour y arriver, mais il avait cultiver son talent, grandissant de plus
en plus ses forces. Le maniement de la hache, fut celui qui lui prit le
plus de temps à acquérir. Il finit par y parvenir, et accru sa
technique.
Centuor le nomma capitaine de son escadrille quelque
temps plus tard, lors de sa première bataille, il fit tellement fureur,
qu'il passa Grand Général. Puis Centuor fut assassiné un soir dans son
sommeil par des elfes. Varandore vit l'homme qu'il considérait comme
son père mourant, les derniers mots de celui-ci furent:

-
Tu as su rester grand et fier lorsque l'on ne te considérais pas
encore, tu nous as prouvé ta valeur, je te donne mon titre, celui de
chef suprême de notre communauté, fait la connaître et trouve des
terres fixes pour ton peuple désormais.

Varandore
devient alors le chef de la horde, pour respecter les dernières volonté
de Centuor. il fit de Barbarian, l'un des Grands Généraux. Tous
voulaient trouver un territoire, avoir enfin un chez soit, rien qu'a
eux, ils se battaient, donnant toute leur force dans les batailles, ils
réussirent à protéger et gardé une parcelle de territoire, au fur et à
mesure de batailles ils eurent un territoire ressemblant à quelque
chose.
Puis un jour Varandore qui venait d'avoir 18 ans fit la
connaissance de Nalec. Nalec avait reconnu en Varandore, les traits
d'un magiciens de l'enfer, il le présenta à Tyrion. Varandore avait
retrouvé une partie de ses origines. Nalec et Tyrion permirent à
Varandore d'étendre son royaume, de le faire progresser dans les
diverses stratégies. Chez les magiciens de l'enfer, Varandore avait
trouvé une autre famille, et il se devait de leur faire honneur, pour
eux, Tyrion, Nalec et lui même aussi.

Chapitre 1 : Un apprentissage.

Varandore
était désormais un Magiciens de l’Enfer, mais certes il avait des
capacités magique énorme mais il ne savait pas se servir de la magie
correctement, ses habitudes aux combat individuel aussi était
importante mais diriger une armé à lui tout seul, l’ordonner n’était
pas choses aisé pour lui. Et en plus de cela il n’avait aucun talent en
ce qui concernait la tenu à adopter en publique, tout comme sa façon de
parler.

Désormais il avait à ses cotés des personnes qui
pourrait lui apprendre tout ce qu’il ne connaissait pas. Nalec s’occupa
d’apprendre rapidement à Varandore comment organiser ses troupes, quels
actes il fallait éviter. Cet apprentissage prit un certain temps, mais
le résultat fut présent, la Horde de Varand était désormais capable
d’enrayer les attaques de quelques seigneur, et d’aller conquérir des
territoires exterieur, afin d’étendre le territoire de vie des Oxors de
Varand.

Mais son apprentissage était loin d’être achevé,
et la pratique de la magie allait être la seconde leçon qu’il
recevrait. Varandore n’était pas très à l’aise car il se demander bien
comment l’on pouvait user de la magie, comment on pouvait matérialisé
une énergie interne en un objet ou en un élément ou en une sensation,
bien que les rudiments lui furent appris par Centuor. Certes il s’était
déjà servie de sa marque mais c’était l’instinct, la rage, la colère
qui lui avait permis d’y arriver depuis il ne l’activa plus et ne
savait toujours pas s’il serait capable de la réutiliser. L’autre
marque qui avait commencé à se dessiner sur son bras droit c’était
effacer depuis. Trandil et Tyrion allait s’occuper d’apprendre à
Varandore la magie. Ce fut surtout Tyrion qui apprit à Varandore la
magie, Trandil se contentant d’observer l’enseignement que donné son
successeur, pour vérifier qu’une fois sa mort arriver il serait apte à
apprendre à tous les futurs Magiciens la magie. Il reprit que très
rarement Tyrion, et ce fut toujours en plaisantant que celui-ci le
faisait, il s’agissait toujours de petit détail oubliait par Tyrion sur
lesquels Trandil le reprenait.
Tyrion commença par reprendre les
bases que Varandore avait apprit, il lui expliqua que le contrôle de
soi même était très important. Qu’il valait mieux être calme qu’excité
car cela permettait de bien visualiser la situation et de l’analyser
mais le plus important étant de visualiser ce que l’on allait faire.
Malgré tous les exercices d’entraînement qu’effectuait Varandore, il ne
progressait pas d’un pouce, rien n’y faisait, il n’arrivait même pas à
réactiver sa marque. Il mit plusieurs mois avant d’y parvenir, Tyrion
avait oubliait de mentionné la patience, et désormais les progrès de
Varandore était incontestable, même s’il n’avait pas encore le niveau
d’un mage. Varandore continuerait son apprentissage dans le domaine de
la magie tout en apprenant à s’exprimer et à avoir une tenue convenable
en publique.

Ce fut Lilkeatear qui se chargea d’apprendre à
Varandore comment se tenir. Il lui apprit comment se tenir à table
qu’il ne fallait pas se servir avec ses mains qu’il ne fallait pas
cracher les restes par terres, qu’il fallait se servir d’une fourchette
et d’un couteau, que pour s’essuyer au lieu de se servir de sa main, il
fallait user de sa serviette. Qu’en place publique il était nécessaire
d’avoir un minimum d’hygiène lorsque l’on est un humain, enfin plutôt
un ancien. Lilkeatear qui était peu appréciait en place publique donna
à Varandore les armes pour être un seigneurs respecté, qu’il soit
appréciait ou non ne dépendrait que de lui, et puis quel importance
cela pouvait-elle bien avoir ? Aucune, Varandore avait trouvé une
famille et des amis, un endroit ou se détendre, et des alliés.

Il
avait eu quatre mentors, et il n’oublierait jamais aucun d’eux, il
était devenu ce qu’il était grâce a eux. Certes il savait qu’il
n’aurait jamais fini d’apprendre quelque chose, et la magie lui donné
encore quelque difficulté mais il était désormais devenu un mage
puissant. Les efforts qu’il avait fourni lui permirent de devenir le
Magicien en charge de retrouvé ses confrères perdu lors du combat entre
les ancêtres des Magiciens de l’Enfer, il était chargé de leur
apprendre tout ce qu’il savait, et de vérifier qu’il appliquait bel et
bien les consignes donnés pour progresser. Il accomplit avec un grand
plaisir son role, il fut même désigné champion de sa guilde, ce titre
il le devait justement à sa guilde…

Il savait qu’en devenant
Magicien il avait changé, et pour toujours se rappeler de ce
changement, il demanda un qu’on grave sur son corps le blason des
Magiciens de l’Enfer, à l’intérieur du blason de Varand, ce fut Tyrion
qui par la magie scella cet emblème au niveau du cœur du magicien, qui
ne voulait jamais oubliait qui l’avait aider, ni qui il était, et quels
étaient ses origines: il était un Magiciens de l’Enfer d’Oxors…

Chapitre 2: La confrontation

Des
bâtiments jaillirent des océans environnant la terre d’Oxors, et
vinrent sur la plage. Varandore convoqua ses troupes pour lancer
l’assaut, car si ces bâtiments étaient habités, il était fort probable
que leur venue marque le début d’une guerre… Les Onze Grand Généraux,
surnommés les Increvables représentaient chaque tranche de la
population d’Oxors, et ensemble ils formaient un groupe solidaire
increvable d’où leur nom. La charge fut sonnée et une troupe de puant
déferla de la colline en direction de la plage dans un vacarme
effroyable.

L’ennemi s’attela à défendre son nouveau
territoire conquit de manière peu ordinaire, il envoya une partie de
ses troupes hors de ses murailles, retranchant archers, mages, et
dragons dans leurs murailles afin de protéger ces unités attaquant à
distance.

Tous les Oxors s’acharnaient pour défendre ce
territoire, territoire où leurs morts reposaient, territoire conquit
par Centuor, et qui jusqu’à ce jour avait réussi à être préservé.
L’arme à la main, ils répandaient le sang autour d’eux, tuant avec le
plus de vigueur possible l’ennemi. Les têtes volaient. A terre, on
pouvait voir de pauvres hommes avec une jambe en moins, d’autres le
ventre transpercé, agonisant, et des enfants prit dans ce carnage
voyant leurs parents mourir sous leurs yeux. Une femme enceinte mourut
en tentant de protéger vainement son enfant qui périt en même temps que
ca mère. Ce spectacle affreux, moi Varandore je l’ai vu. Il est temps
que j’arrête ce discours à la troisième personne, ce discours
impersonnel, froid, insensible.
J’ai vu ces hommes à terres
estropiés, mourant d’une mort lente et douloureuse, ces enfants
pleurant à chaudes larmes sur les plaies de leurs parents, mais je ne
pouvais m’arrêter, il fallait défendre ces terres, mes terres, et
défendre mon peuple, ce peuple qui m’avait recueilli qui m’avait haï,
puis qui m’avait acceptait et aimait, oui, il fallait que je défende
cette terre d’accueil. Je croyais l’assaut terminé, lorsque flèche et
divers sorts s’abattirent sur nous, et sur nos ennemis, mais l’horreur
et la cruauté ne s’arrêta pas là. Un géant, ou plutôt un monstre sortit
du château et renversa d’un coup mes armées. Les Onze Increvables
tentèrent de s’occuper de celui-ci, mais ce fut un spectacle navrant et
douloureux que je vis, et dire que certaine personne trouve la guerre
amusante...

D’un coup d’un seul, il les renversa, les blessant
presque tous mortellement. Je me précipitai pour abattre cette
créature, en voyant autour de moi mes amis, dont celui qui fut tout
pour moi, Barbarian, gisant à terre silencieusement. La rage s’empara
de moi, et d’homme je devins bête. Mon bras gauche me brûla, me crispa,
j’étais prêt à m’écrouler par terre pour me tordre de douleur, mais
cette rage n’en finissait pas, et je m’élança tel un Dragon avec des
crocs de Loup pour terrasser cette créature, dévorant avec délice la
cervelle de celle-ci. Mais même morte je ne pouvais m’arrêter, je
détruisis les bâtisses qui s’étaient érigées sur mon domaine, et je
m’apprêtais désormais à tuer mon peuple. La bête que j’étais devenu, ce
Dragon aux crocs de Loup était devenu une arme incontrôlable, prête à
anéantir son peuple. Le sourire de Barbarian me ramena à la raison et
je m’effondra au sol reprenant apparence humaine, baignant dans une
marre de sang, inconscient et plongé dans une brume noire…

Remerciement à Milea pour sa collaboration dans la reprise de l'orthographe et de certaines expressions.

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